CORONAVIRUS : les solutions alternatives

red and white flower petals

Communiqué de la Fédération Européenne d’Herboristerie[1]

Par Ph. Andrianne, Président

Il est fondamental d’informer la population sur les méthodes alternatives naturelles tant préventives que curatives, ce que ne font ni nos me(r)dias, ni nos « autorités » sanitaires. (Pourquoi ?)

Ils se mettent ainsi en contradiction avec l’article 35 des principes éthiques de la déclaration d’Helsinki[2] qui stipule que « des interventions non avérées » doivent être envisagées si elles offrent une chance de sauver la vie, de rétablir la santé.

Pour lutter efficacement contre le coronavirus, nous allons vous présenter quelques pistes scientifiquement « avérées » en phytothérapie.

En gemmothérapie : Les propriétés des bourgeons de Peuplier (Populus nigra) sont reconnues proches de celles de la propolis, en raison de la présence de résines et cires anti-oxydantes riches en flavonoïdes (pinocembrine, chrysine, galangine myricétine, quercétine…) ; ces principes actifs possèdent des propriétés anti-virales[3] scientifiquement prouvées.

Le ministère de la santé[4] belge reconnait au peuplier des propriétés fluidifiantes sanguines à l’instar de l’aspirine.

De plus, l’ANSES[5] française, reconnait au peuplier des propriétés anti-inflammatoires en raison de la présence, dans le bourgeon, de dérivés salicylés.

Les mécanismes d’action évoqués incluent l’inhibition des COX mais aussi l’inhibition de la production des cytokines pro-inflammatoires, vraisemblablement en interférant avec NF-ĸB.

Grâce à la présence de nombreux flavonoïdes, le bourgeon de peuplier est protecteur de l’endothélium[6] vasculaire, fréquemment détruit par la protéine « spike[7] » du virus (et aussi du vaccin à ARN qui fabrique cette protéine !).

Le collagène des vaisseaux est ainsi mis à nu et les plaquettes sanguines se collent sur la paroi de collagène. Ce processus induit la formation de nombreuses micro-thromboses susceptibles de perturber l’irrigation sanguine veineuse et artérielle de nombreux organes, expliquant ainsi les effets secondaires[8] très différents observés tant lors de l’infection qu’après la vaccination ce que confirme le taux de D-dimère[9] sanguin élevé dans les 2 cas (très fréquent après la vaccination).

Les bourgeons de Peuplier et les bourgeons d’Aulne (Alnus glutinosa), forment une synergie parfaite que l’on trouve dans le complexe DEFENSE[10] (CG n°18). Ce complexe agit efficacement dans de nombreuses maladies infectieuses, dont potentiellement le coronavirus.

C’est un véritable « anti-grippe » qui remplace efficacement le vaccin, souvent dépassé par les nombreuses mutations rapides du virus. Nous recommandons de prendre 15 gouttes chaque jour, le matin, durant toute la période de confinement.

Le bourgeon de cassis (Ribes nigrum) considéré comme adaptogène et tonique surrénalien, renferme de la quercétine, flavonoïde anti-viral[11]. Il est associé dans le complexe IMMUNITE[12] (CG n° 9) à la jeune pousse de  sapin pectiné (Abies pectinata) – dont l’action s’exerce sur l’écosystème intestinal, siège de notre immunité – et à la jeune pousse de Rosier sauvage (Rosa canina) dont l’action anti-virale[13] a été mise en évidence par le Dr Pol Henry, fondateur de la gemmothérapie.

En effet, la jeune pousse de Rosier sauvage renferme non seulement de la quercétine, mais également de l’acide gallique[14] et de l’acide ellagique[15], tous deux anti-viraux. Ce complexe est recommandé dans les grandes fatigues post-COVID ou post-vaccinales.

La propolis sous forme d’extrait hydro-alcoolique peut être renforcée par la présence des huiles essentielles de romarin cinéol, ravintsara, origan, myrte cannelle, girofle. On prendra 5 gouttes du mélange 3 x/jour pur sur la langue. Ce compositum est anti-bactérien, anti-fongique et anti-viral.

En nutrithérapie, les nutriments susceptibles d’accompagner le traitement de gemmothérapie, sont la L-Glutamine (500 mg 3 x/jour) – source énergétique principale des lymphocytes lors de la réponse immune – et le Zinc[16] (20 mg 3 x/jour) qui stimule non seulement l’immunité antivirale mais exerce également une action antivirale directe (inhibition du déshabillage viral, de la transcription du génome viral, et de la traduction et la transformation des protéines virales).

Rappelons que nous avons déjà connu des épidémies, dont celle de la peste pendant laquelle les médecins qui visitaient les malades, se protégeaient avec un masque pourvu d’un long nez dans lequel se trouvaient des plantes aromatiques, purifiant ainsi l’air des « miasmes ».

En aromathérapie, plusieurs huiles essentielles sont anti-virales[17] telles la cannelle, le thym, le tea tree, l’origan, le laurier.

Nous recommandons de mettre sur le masque ou mieux directement en dessous du nez et dans les narines, un mélange d’origan, de girofle, de cannelle et de laurier. Ce mélange préventif peut être également frotté sur la poitrine chaque matin à titre préventif.

On modifie ainsi la nature de l’air inspiré. Plusieurs mélanges assainissant peuvent être dispersés dans l’air des habitations à l’aide de diffuseur. Il est également possible d’employer le respirateur « Bol d’air Jacquier[18] », tant préventivement en diffusion passive dans une pièce, qu’activement en respirant directement les substances émises à la sortie du respirateur.

En phytothérapie traditionnelles, plusieurs plantes sont considérées comme anti-virales : Echinacea purpurea, Millepertuis (Hypericum perforatum), le sureau (Sambucus nigra) dont les fruits entrent dans la fabrication d’un excellent sirop et surtout le buis aux propriétés anti-virales bien connues. Le buis (Buxus sempervirens) a toujours été employé en ethnomédecine dans les fièvres diverses, notamment contre la malaria. Sa réputation de fébrifuge était tellement importante, que le roi de Prusse Joseph II en acheta au prix de 1.500 florins et fit publier une formule secrète dont le buis était l’unique composant sous forme d’extrait alcoolique.

L’Université de Munster en Allemagne et l’Institut Suisse de Santé Publique et Tropicale de Bâle ont démontré qu’un extrait total de feuilles présente une activité anti-malarique[19] in vitro liée à l’action de l’alcaloïde responsable : le cycloartane O-tigloylcyclovirobuxeine-B.

Le buis possède une action antibactérienne[20] et antivirale[21] démontrée sans toxicité potentielle par le centre hospitalier de Nice, malgré la présence d’alcaloïdes réputés « toxiques ». Il présente également une action anti-cholinestérase.

Nous pensons que le buis peut parfaitement convenir dans les symptômes du coronavirus car il constitue une alternative aux anti-viraux de synthèse.

Un autre anti-paludéen intéressant[22] est l’armoise annuelle (Artemisia[23] annua) dont 4 gouttes d’huile essentielle 3 jours d’affilée permettent de sortir de situations respiratoires graves. A défaut, vous pouvez employer la tisane ou l’extrait hydro-alcoolique préparé avec la plante sèche.

Tant le buis que l’armoise annuelle constituent des alternatives naturelles et sans effets secondaires.

Pour les personnes hospitalisées, nous préconisons de prendre le buis de façon sécurisée sous une forme traditionnelle qui a fait les preuves de son efficacité : la tisane (20g/L d’infusion). Celle-ci présente un goût amer très prononcé désagréable qui peut être légèrement masqué par l’adjonction de miel. La tisane se prend 3 jours d’affilé par semaine jusqu’à disparition des symptômes. Cette tisane de buis peut être associée à celle d’armoise annuelle.

Afin de soutenir la fonction respiratoire, un mélange de macérat glycériné concentré de bourgeons peut se prendre à raison de 15 gouttes le matin (hêtre, ronce, noisetier).

Les personnes hospitalisées peuvent également employer le bol d’air Jacquier pour aider la respiration.

Pour arrêter les spasmes de la toux, l’huile essentielle de Khella (Amni visnaga) peut être appliquée plusieurs fois par jour sur le plexus, comme anti-spasmodique.

Protocole avant vaccination

  1. Cassis (macérât glycériné concentré de bourgeons) : 20 gouttes le matin 3 jours avant l’injection et 7 jours après.
  2. Noyer (macérât glycériné concentré de bourgeons) : 15 gouttes durant 10 jours après l’injection.
  3. Bromélase (gélules) : 5 gélules 3 jours avant l’injection et durant 21 jours après l’injection.
  4. Serrapeptase (gélules) : 5 gélules 3 jours avant l’injection et durant 21 jours après l’injection.
  5. Papaïne (gélules) : 5 gélules 3 jours avant l’injection et durant 21 jours après l’injection.
  6. Argile : cataplasme sur l’injection après l’injection 3 jours d’affilé.
  7. Ledum Palustre (huile essentielle) : massage sur l’injection avant et 3 jours après avant de mettre le cataplasme.

Pour plus de renseignements sur les formules proposées : www.feh.be  tél : 080/41.82.06 (ma-ve 14-18h00 ; info@feh.be)

Droit de refuser le vaccin

01/02/2022 LE DROIT DE REFUSER LES INJECTIONS. Ce règlement Européen est une grosse avancée ! 
Il est entré en vigueur le 31 janvier 2022 : le parlement Européen vient de clarifier ce 13 janvier 2022, les dispositions du règlement (UE) n°536/2014 en affirmant que celle-ci s’appliquent également au cas de figure de l’expérimentation des vaccins Covid 19 donc concrètement « le Droit de REFUSER de participer à l’essai en question, ou de se rétracter – sans possibilité d’en être sanctionné ultérieurement. »(Art 29).
Cette clarification de la part de la Commission est la bienvenue, à l’heure ou plusieurs états membres de l’Union franchissent le pas de la vaccination obligatoire .
Pour rappel, dans le droit de l’Union européenne, un règlement est un acte juridique d’application directe, c’est-à-dire qu’il ne passe pas par le processus législatif interne d’un Etat membre – comme la directive européenne . 
Une fois entré en vigueur, il devient obligatoire uniformément dans tout le territoire de l’Union. il pourrait donc être invoqué devant les juridictions nationales.
(tiré de : https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/01/24/le-nouveau-reglement-europeen-relatif-aux-essais-cliniques-sapplique-a-la-vaccination-covid/)

Le site https://effets-secondaires-vaccins-covid.org recense de manière indépendante les témoignages des personnes victimes d’effets secondaires des vaccins covid-19.

ANNEXE 1 : Peuplier (extrait de la saisine de l’ANSES n° 2020-SA-0045 www.anses.fr)

Des études in vitro ont permis de mettre en évidence un effet anti-inflammatoire d’extraits de peupliers sur différents modèles cellulaires. Ces études montrent notamment un effet de diminution de la libération de TNF-α, d’IL-1-β ou d’IL-6 sur des cellules de l’immunité préalablement activées par le LPS ainsi qu’une inhibition de l’activation de NF-ĸB (Wang et al. 2014), effet qui pourrait passer par la voie p38/JNK comme cela a été montré pour P. deltoides Marshall (Jeong et Lee 2018).

A noter également que l’extrait de P. deltoides inhibe la iNOS et la production de NO mais n’inhibe ni COX-2 ni la production de prostaglandines E2 in vitro (Jeong et Lee 2018).

Ces effets d’inhibition du TNF-α ou d’interleukines ont pu être confirmés in vivo chez la souris (Wang et al. 2014) et sur des modèles de souris diabétique avec une combinaison d’extraits de P. x canadensis Moench et de propolis (Peng et al. 2018). Des effets anti-inflammatoires ont également pu être mis en évidence in vivo sur différents modèles (principalement chez le rat) sans que les mécanismes d’action aient été recherchés (Debbache-Benaida et al. 2013, Xu et al. 2014).

Les flavonoïdes pourraient être en partie responsables de cet effet puisque des flavonoïdes isolés de P. davidiana Dode (P. tremula var. davidiana (Dode) C.K.Schneid.) ont montré des activités significatives d’inhibition des COX in vitro (Zhang et al. 2006).

Dans une autre étude, la pinocembrine, une flavanone caractéristique du peuplier, a montré un effet significatif d’inhibition de l’expression de COX-2 (Pobłocka-Olech, Inkielewicz-Stepniak et Krauze-Baranowska 2019).

ANNEXE 2 : Protéine spike (extrait de la saisine de l’ANSES n° 2020-SA-0045 www.anses.fr)

La protéine S (spike) de SARS-CoV-1 se fixe avec une haute affinité au site carboxypeptidase de l’ACE2 (Li et al. 2003, Zhou et al. 2020) ; le SARS-CoV-2 possède également une protéine S capable de se lier à l’ACE2[24] (Wan et al. 2020). Les cellules pulmonaires expriment l’ACE2 à leur surface (Wan et al. 2020) qui constitue donc une porte d’entrée pour ces virus.

Une étude chinoise fait état de l’interaction entre la fixation des coronavirus à ACE2 et les plantes médicinales. Après l’épidémie de SRAS associée à l’infection par SARS-CoV-1, le criblage de 312 plantes médicinales chinoises, supervisé par le Comité de la médecine et de la pharmacie chinoises à Taïwan, a montré que trois plantes médicinales chinoises de la famille des Polygonaceae étaient capables d’inhiber l’interaction de la protéine S du SARS-CoV et de ACE2 (Ho et al. 2007) : – Radix et Rhizoma Rhei (racine de Rheum officinale Baill.), – Radix Polygoni multiflori (racine de Polygonum multiflorum Thunb.) et – Caulis Polygoni multiflori (tiges de P. multiflorum Thunb.). Cette étude montre que l’émodine, un composé anthraquinonique présent dans ces drogues végétales, bloque de manière dose-dépendante l’interaction entre la protéine S et ACE2.

ANNEXE 3 : Extrait de France Soir par Laurent Gars (https://www.francesoir.fr/societe-sante/artemisia-OMS)

Parmi les publications scientifiques, se démarque celle du « Journal of Ethnopharmacology », sortie le 28 juin dernier ; alors qu’une version encore en preprint mise à jour a été ajoutée le 08 septembre. Cet essai conduit par l’équipe du Dr Mangalam S.Nair, du CSIR indien, montre que des extraits d’artemisia annua (par infusion des plantes) inhibent l’infection par le covid-19. Le composant actif serait très probablement l’artémisinine, ou une combinaison d’éléments de cet ordre, permettant un blocage peu avant l’entrée effective du virus dans les cellules. Les résultats cliniques suggèrent vivement une confirmation par la mise en place d’un essai in vivo. Le preprint de septembre conclut quant à lui à une efficacité similaire sur les nouveaux variants dominants, y compris le Delta.

La plus importante, parue dans une grande publication, est certainement celle conduite par le Dr Zhou et son équipe. Cette étude, in vitro elle aussi, est sortie le 16 juillet dernier dans la prestigieuse revue Nature, ce qui lui garantit une certaine visibilité, notamment aux yeux des partisans de l’EBM et des scientifiques des pays occidentaux de manière générale. Tout comme dans l’essai du docteur Nair, est testée l’efficacité antivirale des extraits d’artemisia annua, et plus particulièrement des substances actives que sont l’artémisinine, l’artésunate et l’artéméther. Toutes montrent un effet (au plus haut pour l’artésunate) tangible sur la prévention de la réplication du virus dans les cellules, notamment les VeroE6.

Ce travail suggère même que l’artésunate est capable de cibler le virus après son entrée cellulaire, et que des concentrations plasmatiques maximales de cette substance dépassant les EC50 (concentration efficace médiane) peuvent être atteintes, ce qui est un fort signal d’efficience. Là encore, la mise en place d’un essai en vie réelle est clairement recommandé.

Fort de ces données sur l’artésunate, en juillet dernier, le laboratoire sud-coréen Shin Poong annonce la fin de la phase II de son essai randomisé contrôlé double aveugle (le fameux « gold standard  » de l’EBM) qui teste le médicament Pyramax comme traitement contre la covid.

Comme le Plaquénil, c’est un antipaludéen. Il est composé d’artésunate et de pyronaridine. Essai in vivo, de petite envergure (N=113), dont le recrutement a été effectué auprès de 13 hôpitaux du pays. Il a cependant le mérite de concerner une population bien ciblée (âge moyen de 54 ans et donc sujette à faire des formes aggravées) dans des phases de maladie légères à modérées. Cet essai randomisé se focalise donc sur l’effet potentiel du médicament à agir sur la clairance virale, phase où l’artésunate est censé faire effet (pas comme certains essais occidentaux qui utilisaient des antiviraux en pleine tempête cytokinique).

Malgré une significativité non atteinte statistiquement due au faible nombre de patients, les résultats préliminaires sont jugés encourageants par le laboratoire. Notamment la durée de clairance virale totale à J+10 dans le groupe traité, au contraire du groupe placebo (J+28). Les dirigeants de Shin Poong ajoutant aussi que les risques d’hospitalisation, de besoin d’oxygène ou d’aggravation des symptômes connaissent une réduction de 55.4 % dans le groupe traité. De plus, aucun problème de toxicité n’est constaté. Estimant la phase II prometteuse, il est envisagé que ce médicament puisse jouer un rôle dans la lutte contre le virus, essentiellement en phase précoce. Une phase III sur un échantillon beaucoup plus large est dans les tuyaux. Une requête pour une « IND Approval » (l’équivalent de nos RTU et ATU qui sont accordées sur base de fortes présomptions d’efficacité) auprès de la FDA sud-coréenne a d’ailleurs été faite par le laboratoire.

Le 8 septembre était publiée dans le « Virology Journal » l’étude scientifique de l’équipe des docteurs Chuanxiong Nie et Peter H Seeberger de la « Freie Universitat Berlin ». Cette étude in vitro a évalué les propriétés antivirales des extraits d’Artemisia (annua et afra) ainsi que la boisson Covid Organics CVO (dont la recette n’est pas révélée mais à base bien sûr d’extraits de la plante malgache). Dans cet essai, est encore démontré que, in vitro, les extraits par infusion inhibent l’infection des cellules par le Sars-Cov-2 dans des concentrations qui n‘affectent pas la viabilité de celles-ci. La conclusion appuie cependant sur le fait que la quantité de concentration plasmatique maximale nécessaire dans les cellules afin d’inhiber l’infection virale chez les humains n’est clairement pas définie. La mise en place d’essais cliniques in vivo, dans ce travail également, est réclamée.

Parallèlement à cette publication, qui était en preprint depuis un moment, le Centre national d’application de recherche pharmaceutique (CNARP) de Madagascar, qui n’a jamais cessé de promouvoir les bienfaits de cette plante depuis l’intervention médiatique de son président, a lancé son essai clinique in vivo en association avec le laboratoire pharmaceutique malgache (détenu par l’État à 100 %) Pharmalagasy. Cette étude, qui concerne 339 patients, teste l’efficacité antivirale d’une nouvelle déclinaison du Covid Organics (CVO), cette fois-ci sous forme de gélule. Début juillet, le laboratoire annonce le succès de la phase III de leur essai. Cette ultime phase, qui a été menée de janvier à mai de cette année, conclurait à une efficacité du médicament de 87.1 % s’il est utilisé pour traiter le covid-19 sous forme légère et modérée. Avec une clairance virale établie à J+14 et aucun effet secondaire notable constaté, selon le Pr Rakotosaona du CNARP.

Enfin, pour conclure sur le lexique Artemisia, on indiquera la publication d’un tout dernier papier, dans le journal « PLOS PATHOGENS » en date du 09 septembre. Ce travail, mené par l’équipe du professeur Pickard de l’université de Manchester, consistait à évaluer bon nombre de molécules repositionnées grâce à un procédé de nano luciferase. Pickard a pu constater les fortes propriétés antivirales (spécifiquement sur la réplication des cellules Vero) de neuf molécules parmi lesquelles l’amodiaquine, qu’on trouve dans l’Artemisia. Il définit clairement cette molécule comme un « sérieux candidat dans la catégorie des drogues repositionnées, qui pourrait devenir un puissant ajout dans le traitement de la covid ».

Annexe 4 : Effets secondaires du Vaccin anti-covid 19

Quels sont les effets secondaires du vaccin Pfizer selon le UK Government Report[25] :

Maux de tête massifs, micro-caillots et ecchymoses soudaines dans tout le corps, cycles menstruels exceptionnellement lourds chez les jeunes et les femmes ménopausées, fausses couches, réduction du lait maternel, stérilité chez les femmes et les hommes, désordre cardiaque, désordre congénitaux, désordre auditif, désordre endocrinien, gastro-intestinaux, hépatique, immunitaires, musculaires, nerveux, urinaires, rénaux, cutané, apparition de cancer, d’infections, de troubles psychiques (pertes de concentration, mémoire,..) et évidemment la mort !

Une coagulation excessive provoque des caillots sanguins, des mini-caillots, des accidents vasculaires cérébraux et des cycles menstruels anormalement lourds. C’est pourquoi tant de personnes meurent aujourd’hui de caillots sanguins après avoir reçu le sérum/vaccin, et pourquoi d’autres présentent maintenant des ecchymoses inexpliquées après avoir été en contact avec une personne ayant pris le sérum/vaccin.

L’agence européenne est même allée jusqu’à affirmer faussement que les accidents de coagulation sanguine (qui ont causé des morts) n’étaient pas liés au vaccin… alors que les autorités scientifiques norvégiennes, elles, ont conclu exactement le contraire, avec une certitude totale [26]!

Les variants nous confirment que les vaccins ne seront rapidement plus efficaces sur le Covid chez les vaccinés comme l’avait prédit le Dr RAOULT !!! (Source : IHU Méditerranée. Dr Hervé Tissot Dupont)


[1] www.feh.be

[2] Publié par l’Association Médicale Mondiale

[3] Serkedjieva J, Manolova N, Bankova V. : Anti-influenza virus effect of some propolis constituents and their analogues(esters of substituted cinnamic acids). J Nat Prod. 1992 Mar;55(3):294-302

Kujumgiev A, Tsvetkova I, Serkedjieva Y, Bankova V, Christov R, Popov S. : Antibacterial, antifungal and antiviral activity of propolis of differentgeographic origin. J Ethnopharmacol. 1999 Mar;64(3):235-40

Shimizu T, Hino A, Tsutsumi A, Park YK, Watanabe W, Kurokawa M. : Anti-influenza virus activity of propolis in vitro and its efficacy against influenza infection in mice. Antivir Chem Chemother. 2008;19(1):7-13

Schnitzler P, Neuner A, Nolkemper S, Zundel C, Nowack H, Sensch KH, Reichling : Antiviral activity and mode of action of propolis extracts and selected compounds. Phytother Res. 2010 Jan;24 Suppl 1:S20-8. doi: 10.1002/ptr.2868

[4]AR 24 JANVIER 2017. — Arrêté royal modifiant l’arrêté royal du 29 août 1997 relatif à la fabrication et au commerce de denrées alimentaires composées ou contenant des plantes ou préparations de plantes : L’étiquetage du peuplier doit comporter les avertissements suivants : Consultez votre médecin ou votre pharmacien en cas d’usage concomitant d’anticoagulants

[5] Voir annexe 1 : Saisine n° 2020-SA-0045 de l’Agence nationale de sécurité sanitairel,

[6] L’endothélium régule un ensemble de processus physiologie tel le contrôle de l’hémostase, la fibrinolyse, la fluidité sanguine, l’inflammation, le stress oxydatif, la perméabilité vasculaire et la structure

Pons S, Fodil , Azoulay, Zafrani L : The vascular endothelium: the cornerstone of organ dysfunction in severe SARS-CoV-2 infection. Crit Care. 2020 Jun 16;24(1):353. doi: 10.1186/s13054-020-03062-7

Amraei R(1), Rahimi N(1). : COVID-19, Renin-Angiotensin System and Endothelial Dysfunction. Cells. 2020 Jul 9;9(7):1652. doi: 10.3390/cells9071652.
Iba T, Connors JM, Levy JH : The coagulopathy, endotheliopathy, and vasculitis of COVID-19. Inflamm Res. 2020 Dec;69(12):1181-1189. doi: 10.1007/s00011-020-01401-6. Epub 2020 Sep 12

[7] Voir Annexe 2

[8] Voir annexe 4

[9] Les D-Dimères sont des résidus de fibrine qui constituent les caillots sanguins. Ce taux, qui doit être inférieur à 500 , atteint des valeurs de plusieurs milliers après vaccination ou lors d’une infection au COVID

[10] D’après le Traité de gemmothérapie, de Ph. Andrianne édition Amyris Bruxelles, 2011

[11] Yao C, Xi C, Hu K, Gao W, Cai X, Qin J, Lv S, Du C, Wei Y. : Inhibition of enterovirus 71 replication and viral 3C protease by quercetin. Virol J. 2018 Jul 31;15(1):116. doi: 10.1186/s12985-018-1023-6

Wu W(1), Li R(2), Li X(3), He J(4), Jiang S(5)(6), Liu S(7), Yang J(8)(9). : Quercetin as an Antiviral Agent Inhibits Influenza A Virus (IAV) Entry. Viruses. 2015 Dec 25;8(1). pii: E6. doi: 10.3390/v8010006

[12] D’après le traité de gemmothérapie de Ph. Andrianne, édition Amyris Bruxelles, 2011

[13] Mahmood N(1), Piacente S, Pizza C, Burke A, Khan AI, Hay AJ. : The anti-HIV activity and mechanisms of action of pure compounds isolated fromRosa damascena. Biochem Biophys Res Commun. 1996 Dec 4;229(1):73-9

[14] O’Hara BA et al. Virus Res. (2014) : Gallic acid-based small-molecule inhibitors of JC and BK polyomaviral infection. Virus Res. 2014 Aug 30;189:280-5. doi: 10.1016/j.virusres.2014.06.008. Epub 2014 Jun 21

[15] Bupesh Giri et alii : Antiviral activity of Ellagic Acid against envelope proteins from Dengue Virus through Insilico Docking International Journal of Drug Development & Research 6(2):205-210 · August 2014

Kratz JM, Andrighetti-Fröhner CR, Leal PC, Nunes RJ, Yunes RA, Trybala E, Bergström T, Barardi CR, Simões CM., « Evaluation of anti-HSV-2 activity of gallic acid and pentyl gallate »,Biol Pharm Bull, vol. 31, no 5,‎ 2008, p. 903-7

[16] The Role of Zinc in Antiviral Immunity. American Society for Nutrition 2019. Adv Nutr 2019;0:1–15. Scott A Read et al

[17] Tariq S, Wani S, Rasool W, Shafi K, Bhat MA, Prabhakar A, Shalla AH, Rather MA. : A comprehensive review of the antibacterial, antifungal and antiviral potential of essential oils and their chemical constituents against drug-resistant microbial pathogens. Microb Pathog. 2019 Sep;134:103580. doi: 0.1016/j.micpath.2019.103580. Epub 2019

[18] René Jacquier, ingénieur chimiste à mis au point un procédé catalytique d’oxygénothérapie défini par de multiples brevets. Ce procédé consiste en l’inhalation de dérivés tétravalents de l’oxygène dit « oxonium », considéré comme un véritable « oxygène naissant » produit par le « craking » de la thérébenthine qui passe dans l’arc électrique d’un appareil de type aérosol et délivre des peroxydes de terpènes (principalement des Alpha et Béta pinéne activé), mais également de l’oxygène naissant « oxonium » produit par électrolyse de la molécule d’eau (présent dans l’air de barbotage sous forme de vapeur et dans la thérébenthine[3] sous la forme d’eau interfaciale). www.holiste.com

[19] Althaus JB(1), Jerz G(2), Winterhalter P(3), Kaiser M(4), Brun R(5), Schmidt

TJ(6). : Antiprotozoal activity of Buxus sempervirens and activity-guided isolation of

O-tigloylcyclovirobuxeine-B as the main constituent active against Plasmodium

falciparum. Molecules. 2014 May 15;19(5):6184-201. doi: 10.3390/molecules19056184

[20] WELLER LE, REDEMANN CT, GOTTSHALL RY, ROBERTS JM, LUCAS EH, SELL HM. : Antibacterial substances in seed plants active against tubercle bacilli. II. The antibacterial principles of Primula malacoides and Buxus sempervirens. Antibiot Chemother (Northfield). 1953 Jun;3(6):603-6

[21] Durant J(1), Chantre P, Gonzalez G, Vandermander J, Halfon P, Rousse B, Guédon D, Rahelinirina V, Chamaret S, Montagnier L, Dellamonica P. : Efficacy and safety of Buxus sempervirens L. preparations (SPV(30)) in HIV-infected asymptomatic patients: a multicentre, randomized, double-blind, placebo-controlled trial. Phytomedicine. 1998 Mar;5(1):1-10. doi: 10.1016/S0944-7113(98)80052-4

[22] Totalement confirmé scientifiquement par un prix Nobel en 2015 (Youyou Tu)

[23] Voir ANNEXE 3 extrait de France Soir

[24] L’ACE2 est une enzyme de conversion de l’angiotensine (Ang), qui transforme Ang I en une forme non-vasoconstrictrice

[25] https://www.gov.uk/government/publications/coronavirus-covid-19-vaccine-adverse-reactions

[26] https://www.euronews.com/2021/03/18/norway-sweden-denmark-wait-before-restarting-astrazeneca-vaccinations